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EtéHiver

Règles générales de la station des 2 Alpes

Le bon sens commun est la base pour toutes les règles : 

  • Volez loin des animaux et personnes (VTT, randonneurs, pilotes et passagers de tandem parapente et de toutes les personnes qui ne s’attendent pas à vous voir et que vous pourriez effrayer). Plus de détails sur la page Éthique.
  • Restez loin des Infrastructures
  • Restez loin des Hélicoptères
  • Si vous atterrissez en même temps qu’un parapentiste (solo ou tandem), gardez une distance de sécurité et de respect. Modifiez votre plan de descente si nécessaire.
  • Si vous atterrissez face à un parapentiste, restez à droite (la partie Nord de la zone d’atterrissage). Ca arrive souvent sur les premiers vols du matin, alors faites attention à votre approche.
  • Rangez toujours votre aile dans le sac de compression avant de prendre une remontée mécanique. Les suspentes et le tissu peuvent se coincer dans le mécanisme d’élévation. De plus, les lubrifiants mécaniques seraient une surprise désagréable sur votre nouvelle aile brillante.

A propos de la zone de vols

Généralités

Apprenez toutes les informations disponibles avant votre arrivée. Tout pilote que vous rencontrerez se fera un plaisir de vous renseigner, mais faites vos devoirs à l’avance.

Tout d’abord, vérifiez l’aire d’atterrissage. Elle est située en bas de la télécabine de Venosc. L’approche habituelle se fait d’est en ouest. Attention, dans la zone de la manche à air, le terrain est légèrement montant et, en raison de la configuration thermique locale, la moitié Est du terrain d’atterrissage peut donner lieu à une “chute” à l’atterrissage (dans la deuxième partie de la journée). Essayez de planifier votre atterrissage sur la ligne de la manche à air lorsque les thermiques commencent à se développer, où vous obtiendrez des ressources plus fiables.

Lors du premier vol du matin, le vent d’est (arrière) peut mettre certains pilotes mal à l’aise. Plus tard, il passe normalement à 0 ou à l’ouest.

Le soir, c’est presque toujours du vent catabatique. Soyez particulièrement attentif à votre ressource. Pendant plusieurs semaines d’été, le soleil se couche dans un angle tel que les derniers rayons tombent directement sur l’atterrissage, ce qui vous rend virtuellement aveugle sur les derniers mètres de vol. Soyez préparé à cela.

N’oubliez pas de vous échauffer avant de décoller – les claquages (muscles froissés) au décollage sont une blessure très courante qui peut gâcher vos vacances.

Rappellez-vous que les bons jours, il y aura beaucoup de pilotes sur la montagne, et comme le Speedflying est un sport autonome, vous devez organiser votre vol tout seul. Si vous pilotez une petite aile, il est conseillé de décoller avant les pilotes plus lents ou plus légers afin d’éviter de se croiser en vol. Si ce n’est pas possible, laissez-leur plusieurs minutes de distance pour éviter les approches simultanées.

Par une bonne journée ensoleillée, les thermiques sont assez puissants. Ne sous-estimez pas leur influence. En général, nous volons jusqu’à 13h00. Surveillez les conditions à chaque vol, discutez avec d’autres personnes et ne laissez pas votre “envie de voler” vous amener dans des conditions turbulentes.

Décollage principal

Le décollage principal du Diable (petite manche à air sous le sommet de la remontée mécanique du Diable) ne doit pas être considéré comme simple. Le sol n’est pas lisse – il y a des trous de marmottes et des bosses herbeuses qui rendent la course difficile. Repérez votre parcours de décollage en marchant et choisissez le meilleur chemin. Cette règle s’applique à tout nouveau site, mais les gens ont tendance à l’oublier sur un site avec déjà du monde présent. Le matin, la première descente sous le vent est souvent une occasion, mais ne vous inquiétez pas : une fois que le soleil commencera à chauffer la vallée, il n’y aura plus de problème.

Décollage sud

Généralement déconseillé pour les petites ailes (8 et moins) en raison des parties plates après le décollage. En cas de vent de face, il faut être particulièrement prudent car les vents du sud et du sud-est arrivent ici en traversant un grand massif (les Ecrins) et sont très turbulents et imprévisibles. C’est d’autant plus dangereux que ton pote peut faire un beau vol, te rapporter de bonnes conditions – et juste après lui, tu peux faire le pire vol de ta vie.

Trouvez plus d’infos pour chaque ligne de vol, sur la page dédiée.

L’effet Festival

Étant donné que de nombreux pilotes sont présents sur le site, “l’effet festival” est un problème sérieux. De quoi s’agit-il ? C’est l’influence émotionnelle de nombreux pilotes présents en un seul endroit. Lorsque vous arrivez au décollage et que vous voyez 40 ailes au sol, il est très facile de croire que nous volons tous avec de petites ailes et que nous faisons des choses dangereuses. Observez cette “ambiance détendue” lorsque vous arrivez pour la première fois au décollage et remarquez comment il influence votre prise de décision. Par exemple : vous décollez normalement avec un vent de face, mais vous arrivez avec la première remontée mécanique et vous voyez des gens décoller avec un léger vent arrière. Luttez contre l’envie de faire comme tout le monde et attendez d’avoir des conditions auxquelles vous êtes habitué. Ne vous poussez pas à faire de nouvelles choses sous l’influence des autres pilotes qui vous entourent.

Désolé de devoir dire cela, mais faites attention aux conseils qu’on vous donne : réfléchissez et soyez prudent face à ce que des inconnus vous disent. En cas de doute, demandez à une personne de confiance. Si quelqu’un que vous venez de rencontrer sur la remontée mécanique vous invite à faire une randonnée et à voler demain matin, demandez-vous : pourquoi ? Et la réponse est : parce qu’il est heureux d’être ici et qu’il veut le partager. C’est tout. Pas parce qu’il se soucie de votre progression ou parce qu’il veut vous apprendre une nouvelle technique. Il est fort probable qu’il s’envole le premier et qu’il ne vous attende même pas à l’atterrissage pour s’assurer que vous allez bien. Si vous ne vous sentez pas prêt pour une nouvelle ligne de vol, ne la faites pas ou demandez à quelqu’un de confiance de vous guider. Il y a des décollages très difficiles et vous pouvez vous retrouver dans une situation dangereuse. Ne suivez pas un groupe de personnes au hasard en espérant qu’ils s’intéressent à vos compétences.

Se préparer à une situation d’urgence

Apprenez la géographie locale pour parler la même langue que vos amis et l’équipe de secours.

Assurez-vous que votre téléphone est chargé et qu’il fonctionne localement. Si vous êtes en mode itinérance et que vous gardez votre téléphone éteint pour ne pas vous endetter, vous n’avez pas de téléphone. Procurez-vous un meilleur mode itinérant ou achetez une carte SIM locale. Si vous volez en groupe, les radios sont une très bonne idée. C’est rapide et accessible et cela peut fonctionner dans des endroits où il n’y a pas de réseau mobile (certaines lignes de vol ne sont pas couvertes).

Assurez-vous toujours que quelqu’un sait sur quelle ligne de vol vous volez. Organisez un petit groupe avec un autre pilote solitaire sur la montagne ou envoyez des messages à un ami au sol. Quelqu’un doit toujours savoir où vous chercher au cas où vous manqueriez à l’atterrissage.

Le numéro d’urgence est le 112 et fonctionne à partir de n’importe quel téléphone. Il est préférable que ce soit une personne francophone qui appelle les secours, car le médecin posera beaucoup de questions.

Si vous avez vu quelqu’un s’écraser pendant que vous voliez, n’essayez pas d’atterrir près de la victime. Le mieux est d’essayer de voir si la victime bouge/est gravement blessée et de se souvenir le mieux possible de l’endroit où elle s’est écrasée. Essayez également de vous souvenir de la couleur/du modèle de l’aile afin que le pilote puisse être identifié rapidement. Atterrissez ensuite en toute sécurité et appelez les secours.

Hélicoptère

L’hélicoptère de sauvetage est un engin puissant qui crée d’énormes turbulences. Si vous voyez l’hélicoptère s’approcher de notre zone de vol, envoyez un message sur le groupe Telegram (Anglais uniquement) et prévenez autant de personnes que possible. C’est là que la radio est extrêmement utile : vous pouvez entendre un avertissement de votre ami même juste avant votre décollage.

Soyez prêt à perdre plusieurs vols ou même une journée à cause d’une opération de sauvetage. Votre vol ne vaut pas une minute de retard dans leur travail – ne l’oubliez pas. Si un hélicoptère vous approche et commence à se poser à proximité, vérifiez d’avoir bien rangé votre aile dans son sac et qu’aucun vêtement ne pourra être aspiré par la turbine de l’hélicoptère.

Sécurité personnelle

Soyez attentif à votre condition physique et à votre équipement. Si vous venez du pays du rando-vol et que vous n’êtes pas habitué à plusieurs longs vols quotidiens, vous ressentirez la fatigue mentale plus tôt que la fatigue physique. Veillez à arrêter de voler lorsque vous êtes fatigué.

Prenez le temps de vous préparer au décollage et vérifiez bien votre matériel.

Ne volez pas avec des écouteurs. Dans un espace aérien aussi fréquenté, cela peut être mortel. Vous pouvez rater le bruit d’un hélicoptère en approche ou l’avertissement d’un autre pilote.

Voler toujours avec des lunettes – l’air est plein d’insectes, surtout en juillet et août, et à l’atterrissage des morceaux d’herbe sèche peuvent endommager vos yeux.

Règles générales de la station des 2 Alpes

Le bon sens commun est la base pour toutes les règles : 

  • Volez loin des pistes de ski
  • Volez loin des animaux et personnes (VTT, randonneurs, pilotes et passagers de tandem parapente et de toutes les personnes qui ne s’attendent pas à vous voir et que vous pourriez effrayer). Plus de détails sur la page Éthique.
  • Restez loin des Infrastructures (remontées mécaniques et habitations).
  • Restez loin des Hélicoptères
  • Si vous atterrissez en même temps qu’un parapentiste (solo ou tandem), gardez une distance de sécurité et de respect. Modifiez votre plan de descente si nécessaire.
  • Rangez toujours votre aile dans le sac de compression avant de prendre une remontée mécanique. Les suspentes et le tissu peuvent se coincer dans le mécanisme d’élévation. De plus, les lubrifiants mécaniques seraient une surprise désagréable sur votre nouvelle aile brillante.

Parlons du niveau de ski

Le Speedriding est plus que « voler avec des skis ». Même si tu utilises tes skis juste pour décoller et atterrir, tu pratiques hors-piste avec une neige telle que la nature te la propose. Une « bonne neige » est rare. Ce qui veut dire que tu vas rencontrer de la croute, des morceaux de glace, des mottes de terre … et tu dois savoir skier toutes ces conditions. De plus, au cas où tu rates ton décollage (ou toute autre raison qui rend impossible le vol de la ligne) tu dois retourner aux remontées mécaniques en skiant.
Donc avoir un niveau de ski hors-piste décent est obligatoire et assure-toi de savoir te déplacer où que tu sois.
Avant de voler, il est conseillé de skier les lignes du Diable et de Pierre Grosse pour vérifier ton niveau. Si ces endroits te posent problème, il va falloir travailler d’abord ton niveau à ski avant de venir faire du Speedriding.

Le matériel

Le DVA est indispensable. En cas de problème grave, cela vous sauvera la vie ou celle de votre ami.
Un émetteur-récepteur, une sonde et une pelle doivent faire partie de ton équipement habituel, au même titre que tes skis.
Utilise des skis hors-piste adéquats, mais n’emporte peut-être pas ta paire préférée pour les journées de poudreuse – il est vrai qu’il y a des rochers, surtout au début et à la fin de la saison.

A propos de la zone de vols

Apprends toutes les informations disponibles avant ton arrivée. Tout pilote (Parapentiste ou Speerider) que tu rencontreras se fera un plaisir de te renseigner, mais fais tes devoirs à l’avance.

Tout d’abord, vérifie les aires d’atterrissage. Plus d’infos pour chaque ligne.
Visite-les physiquement (en marchant ou en skiant) avant de rider une ligne. Suivre un ami n’est PAS un bon plan.
Même si le Speedriding est souvent plus indulgent en termes de danger, les principes de base doivent être respectés.
Vérifie tes atterrissages à l’avance !
Dans la mesure du possible, skie toute votre ligne avant de la parcourir en Speedriding afin de te familiariser avec le terrain. Si ce n’est pas possible, sois particulièrement attentif à la durée de ton contact avec la neige. Si tu te retrouve quelque part sans aile, assure-toi de pouvoir sortir.

La ligne principale du Diable est l’endroit le plus populaire de la montagne car la rotation est rapide et le temps est beaucoup plus stable qu’en altitude à Pierre Grosse. Veille à laisser suffisamment d’espace aux autres Speedriders pour ne pas vous croiser sur la ligne et pour ne pas avoir de problèmes à l’atterrissage.

L’aire d’atterrissage du Diable étant assez petite, range rapidement ton matériel et libère l’espace.

Sécurité personnelle

Tout d’abord, étant donné que toutes les activités se déroulent hors-piste, tu as besoin de ton kit d’avalanche et tu dois savoir comment l’utiliser. Oui, la station essaie de sécuriser le terrain autant que possible, mais les conditions peuvent changer au cours de la journée et des avalanches peuvent se former. Les lignes hors-pistes ne sont PAS sécurisées et nécessitent une parfaite connaissance des conditions de neige. Consulte des personnes plus expérimentées pour connaître la situation actuelle. Dans certaines régions, il est conseillé d’avoir des peaux de phoque et/ou des crampons pour pouvoir sortir en cas d’échec de la descente. Il n’est pas agréable de dépendre d’un hélicoptère si tu es à 30 minutes du téléski et que tu ne peux pas redécoller.

Sois attentif à ta condition physique et à ton équipement. Si tu viens du pays de la randonnée et du vol et que tu n’es pas habitué à de longs vols par jour, tu ressentiras la fatigue mentale plus tôt que la fatigue physique. Veille à arrêter de voler lorsque tu es fatigué.

Prends le temps de te préparer au décollage et vérifie bien ton matériel. Si tu as fait une culbute dans ton aile à un moment donné, vérifie attentivement tes suspentes, les bords de ski peuvent faire beaucoup de dégâts.

Ne vole pas avec des écouteurs. Dans un espace aérien aussi fréquenté, cela peut être mortel. Tu peux rater le bruit d’un hélicoptère en approche ou l’avertissement d’un autre pilote.


Le décollage à pied en hiver n’est presque jamais possible. Parfois, à la fin de la saison, c’est possible, mais en général, il ne faut pas y penser.

Se préparer à une situation d’urgence

Apprenez la géographie locale pour parler la même langue que vos amis et l’équipe de secours.

Assurez-vous que votre téléphone est chargé et qu’il fonctionne localement. Si vous êtes en mode itinérance et que vous gardez votre téléphone éteint pour ne pas vous endetter, vous n’avez pas de téléphone. Procurez-vous un meilleur mode itinérant ou achetez une carte SIM locale. Si vous volez en groupe, les radios sont une très bonne idée. C’est rapide et accessible et cela peut fonctionner dans des endroits où il n’y a pas de réseau mobile (certaines lignes de vol ne sont pas couvertes).

Assurez-vous toujours que quelqu’un sait sur quelle ligne de vol vous volez. Organisez un petit groupe avec un autre pilote solitaire sur la montagne ou envoyez des messages à un ami au sol. Quelqu’un doit toujours savoir où vous chercher au cas où vous manqueriez à l’atterrissage.

Le numéro d’urgence est le 112 et fonctionne à partir de n’importe quel téléphone. Il est préférable que ce soit une personne francophone qui appelle les secours, car le médecin posera beaucoup de questions.

Si vous avez vu quelqu’un s’écraser pendant que vous voliez, n’essayez pas d’atterrir près de la victime. Le mieux est d’essayer de voir si la victime bouge/est gravement blessée et de se souvenir le mieux possible de l’endroit où elle s’est écrasée. Essayez également de vous souvenir de la couleur/du modèle de l’aile afin que le pilote puisse être identifié rapidement. Atterrissez ensuite en toute sécurité et appelez les secours.

Sur le décollage : l’hélicoptère de sauvetage est un engin puissant qui crée d’énormes turbulences. Si un accident grave se produit et qu’un hélicoptère va récupérer la victime sur place, envois un message dans le chat Telegram et préviens le plus grand nombre de personnes possible. C’est à ce moment-là que la radio est extrêmement utile : tu peux entendre un avertissement de ton ami même pendant que tu ride.

Hélicoptère

L’hélicoptère de sauvetage est un engin puissant qui crée d’énormes turbulences. Si vous voyez l’hélicoptère s’approcher de notre zone de vol, envoyez un message sur le groupe Telegram (Anglais uniquement) et prévenez autant de personnes que possible. C’est là que la radio est extrêmement utile : vous pouvez entendre un avertissement de votre ami même juste avant votre décollage.

Soyez prêt à perdre plusieurs vols ou même une journée à cause d’une opération de sauvetage. Votre vol ne vaut pas une minute de retard dans leur travail – ne l’oubliez pas. Si un hélicoptère vous approche et commence à se poser à proximité, vérifiez d’avoir bien rangé votre aile dans son sac et qu’aucun vêtement ne pourra être aspiré par la turbine de l’hélicoptère.

L’effet Festival

Étant donné que de nombreux pilotes sont présents sur le site, “l’effet festival” est un problème sérieux. De quoi s’agit-il ? C’est l’influence émotionnelle de nombreux pilotes présents en un seul endroit. Lorsque vous arrivez au décollage et que vous voyez 40 ailes au sol, il est très facile de croire que nous volons tous avec de petites ailes et que nous faisons des choses dangereuses. Observez cette “ambiance détendue” lorsque vous arrivez pour la première fois au décollage et remarquez comment il influence votre prise de décision. Par exemple : si tout le monde fait des barrels sur une ligne alors que vous ne vous sentez pas de le faire, luttez contre l’envie de faire comme tout le monde et attendez d’avoir le niveau. Ne vous poussez pas à faire de nouvelles choses sous l’influence des autres pilotes qui vous entourent.

Désolé de devoir dire cela, mais faites attention aux conseils qu’on vous donne : réfléchissez et soyez prudent face à ce que des inconnus vous disent. En cas de doute, demandez à une personne de confiance. Si quelqu’un que vous venez de rencontrer sur la remontée mécanique vous invite à faire une randonnée et à voler demain matin, demandez-vous : pourquoi ? Et la réponse est : parce qu’il est heureux d’être ici et qu’il veut le partager. C’est tout. Pas parce qu’il se soucie de votre progression ou parce qu’il veut vous apprendre une nouvelle technique. Il est fort probable qu’il s’envole le premier et qu’il ne vous attende même pas à l’atterrissage pour s’assurer que vous allez bien. Si vous ne vous sentez pas prêt pour une nouvelle ligne de vol, ne la faites pas ou demandez à quelqu’un de confiance de vous guider. Il y a des décollages très difficiles et vous pouvez vous retrouver dans une situation dangereuse. Ne suivez pas un groupe de personnes au hasard en espérant qu’ils s’intéressent à vos compétences.

Bons vols

L2A Speedfly team